Berlin. Point final d’une année noire ?

En 2016 l’intégrisme a touché…. Les Afghans (1er, 17,20 janvier, 19 avril, 23 juillet, 1er et 4 août ), Indiens (2 Janvier), Nigérians (5, 29 janvier, 9 février, 16 mars, 18 août, 18 novembre, 9 et 11 décembre), Français (7 janvier, 13 juin, 14 juillet, 12 septembre), Libyens (7 janvier, 17 août ) Irakiens (11 janvier, 29 février, 25 mars, 25 juillet ), Turcs (12 janvier, 19 mars, 28 juin, 21 août), Pakistanais (13,19,20 janvier, 6 février, 27 mars, 8 août, 16 septembre ), Indonésiens (14 janvier, 28 août), Burkinabés (15 janvier), Somaliens (20 janvier, 2 février, 31 juillet, 26 novembre, 11 décembre), Egyptiens (27 janvier, 24 novembre, 11 décembre), Saoudiens (29 janvier, 2 avril), Syriens (31 janvier, 9 février, 5 juillet, 27 juillet, 12 et 14 août), Tchadiens (31 janvier), Maliens (22 février), Yéménites (4 mars, 2 août), Tunisiens (7 mars), Ivoiriens (13 mars), Congolais (4 et 6 mai), Etats-Uniens (12 juin, 17 septembre, 29 novembre), Libanais (13 juin), Camerounais (30 juin), Allemands (25 juillet, 19 décembre), Belges (6 août, 5 octobre), Russes (17 août, 19 décembre), Thaïlandais (23 août), Jordaniens (25 septembre), Philippins (29 novembre)…

Nous sommes tous sur la même petite boule bleue. Nous subissons tous les mêmes menaces des intégristes de tous poils. Ne perdons pas nos valeurs, ne devenons pas comme eux.

Merci monsieur le président.

 

Passé le stade de la surprise, il faut reconnaître la dignité du discours du président de la République. Sans nul doute l’histoire rendra son image moins abîmée qu’aujourd’hui dans l’opinion publique. Le bilan de son mandat sera fait et nous aurons alors la lucidité pour voir les avancées de ce quinquennat.

Avant cela nous pouvons déjà réaliser que ce président n’était pas coupé de la réalité, aveuglé par le pouvoir. Il a su reconnaître qu’il n’était pas le mieux placé pour faire gagner ses idéaux. Et des hommes politiques qui font passer les intérêts de leurs idées avant leur intérêt personnel c’est toujours trop rare.

Merci Monsieur le président. Puissions nous ne pas vous regretter amèrement. A nous de reprendre le flambeau et faire gagner les idées de gauche au mois de mai prochain pour ne pas voir un siècle de progrès social disparaître en fumée.

Frédéric Orain, premier secrétaire du PS 41